Les intervenants  

 

Raphaël Hazera : auteur, metteur en scène, comédien et musicien. Il est autodidacte dans le domaine du théâtre. A suivi des cours à l’école de Berkeley, aux Etats-Unis (musique). Il assure ici le rôle du guitariste, figure emblématique des hommes aimés par Annie et Céline.

Joël Helluy : étudiant à l’I.R.T.S. de Metz, il possède une solide formation théâtrale (+ de 10 ans d’expérience). Comédien attitré des compagnies messines Boïas Frias et Tamanoir, il travaille actuellement sur un projet du Studiolo avec Didier Doumergue. Ici, il incarne Robert, enfant perdu d’Annie. Aude Pâris : comédienne depuis 1998, elle a su multiplier les expériences pour avancer au plus vite (Jacques Guerrier, Didier Doumergue, Colette Allègre, Dominique Grandmougin, Laurent Vacher, …) Membre fondateur de la compagnie Tamanoir, elle joue systématiquement dans toutes les pièces de la compagnie. Elle interprète ici le personnage d’Annie. Gwendoline Rothkegel : comédienne, intermittente du spectacle depuis 2001. (+ de 10 ans d’expérience). Maîtrise d’Arts du Spectacle à Metz. Elle fait partie des compagnies Tamanoir, Viracocha et Les Bestioles. A joué dans de nombreux courts-métrages. (Nicolas Birkenstock…) Elle tient ici le röle de Céline. Hervé Urbani : déjà cité page 4, il possède plus de 10 ans d’expérience en théâtre et musique. Il s’est ici mis en scène dans le rôle de Loïc, voisin de palier d’Annie.                    

La régie son ne concerne que la musique, plus précisément deux morceaux d’un groupe des années 70 : Aksak Maboul. Les autres passages musicaux sont live, compositions de Hervé Urbani et Raphael Hazera. Les costumes ont été créés par Solange Botz, costumière attitrée des compagnies Bestioles, Boïas Frias, Fridacoïtaz, Makeuwish, Tamanoir, Viracocha et du collectif Pendule. Elle assure également depuis 2002 la fabrication des costumes du spectacle annuel de Rodemack pour l’association Vieilles Pierres. Son but ici, était de souligner certains aspects du caractère des personnages comme l’insouciance de Robert ou l’érotisme d’Annie. La scénographie, élaborée de manière collective, est épurée au maximum (un canapé, deux tables, une chaise) pour symboliser la modestie de l’appartement d’Annie.                                        

 


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